dimanche 29 mars 2009

"La journée de la jupe"

J'avais hâte de voir ce film qui marquait le retour d'Isabelle Adjani au cinéma après un premier come-back un peu loupé (!) il y six ans, avec des films qui n'avaient pas marqué les esprits ("Bon voyage", "Adolphe", "La repentie"). Je voulais voir comment Adjani qui est une excellente actrice, allait interpréter ce rôle de professeur qui à bout, prend ses élèves en otage.
Soyons clair, en réalité, il ne s'agit pas d'un film mais d'un téléfilm diffusé au cinéma. Il était initialement prévu pour une seule diffusion à la télévision (record d'audience battu pour Arte) et qui est finalement sorti en (assez peu de) salles.
L'évènement tient plus à la présence d'Adjani au générique que le film en lui-même. La mise en scène reste très "téléfilm", sans recherche ni vraie originalité. Le scénario est plus intéressant mais est mal exploité. Les dialogues balancent quelques vérités. On pense d'abord bien sur à "Entre les murs" (banlieue, ZEP, immigration, etc ...) mais on se rend compte rapidement que cela n'a rien à voir. En plus ici, l'intensité dramatique et le suspens (malgré quelques faiblesses) tiennent la route.
Pour ne rien changer, Adjani retrouve un rôle de femme perturbée qui a fait son succès et qu'elle est sans doute la plus apte à jouer en France.
Passé quelques minutes ou son physique surprend (un peu trop de chirurgie esthétique à mon goût ... l'avantage pour Deneuve ou Baye est que nous les voyons plus souvent !), tout comme son jeu légèrement outrancier, elle nous émerveille comme à sa grande époque et réalise une très grande performance.
Le reste du casting est moins à la hauteur forcément, donner la réplique à Adjani n'est pas chose aisée ... Les jeunes sont tous convaincants. Denis Podalydès est quant à lui assez moyen, la faute sans doute à un personnage insipide noyé dans ses histoires de couple. Au final, un film un peu bancal. Une mise en scène banale, un scénario qui veut dénoncer mais qui est maladroit. Je ne regrette absolument pas d'avoir été voir ce film au moins pour Adjani, une superbe actrice, au meilleur de sa forme, qui donne envie de voir plein d'autres films avec elle. Espérons que cela redonne envie à des metteurs en scène...
Souhaitons que ce film soit vraiment un vecteur de réflexions et de discussions.

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DSK, définitivement l'espoir de la gauche pour 2012 ?


Ils sont bien embêtés, les amis de Dominique Strauss-Kahn, quand leur chef de file est de passage à Paris !
Qu'ils déjeunent officiellement avec lui et la rumeur d'un retour en France du directeur général du FMI repart aussitôt.
Qu'ils ne se voient pas, et la même rumeur repart de toute façon à l'identique.
Installés aux postes clés de la direction du PS, dont celui de numéro deux occupé par Jean-Christophe Cambadélis, les strauss-kahniens prépareraient la candidature de leur chef en 2012.
Tenu par son contrat de travail qui lui interdit de s'immiscer dans la vie politique de quelque pays que ce soit, a fortiori de la France, tant qu'il est en fonction au FMI, DSK reste dans l'ambiguïté. Jamais il ne dément, jamais il ne confirme. Jeudi soir, invité d'"À vous de juger" sur France 2, il n'a fait aucun commentaire sur le sujet. À peine a-t-il pris la peine de démentir "la rumeur" (!!!) de sa nomination comme premier ministre de Nicolas Sarkozy.

En attendant, ses troupes évoquent le scénario d'un retour de DSK, seul candidat à leurs yeux capable de battre Nicolas Sarkozy en 2012. "Vous voyez quelqu'un d'autre ?", demandent-ils. C'est la première étape du scénario du retour : faire de l'ancien ministre de l'Économie de Jospin le seul socialiste capable de conquérir l'Élysée après trois échecs successifs. À la direction du parti, si l'on envisage une candidature Aubry, on tient aussi compte de l'hypothèse DSK. "En 2012, ce sera Martine ou Dominique", assure ainsi un proche d'Aubry ... et pour que la gauche républicaine passe, il faut que ce soit Dominique !

À condition que les conditions soient réunies. Elles sont complexes, surtout pour DSK. "Personne ne peut dire où en sera la France en 2011, quelle sera la situation internationale et dans quel état sera le parti", note François Kalfon, strauss-kahnien. Idéalement, il faudrait que DSK apparaisse comme l'homme qui a sauvé le monde de la crise. Réussite au FMI et incarnation d'un recours : l'équation idéale !

Il faudrait aussi que d'ici à 2011, le PS n'ait pas réussi faire émerger un candidat crédible à opposer à Sarkozy. Et que les primaires destinées s'annoncent aussi conflictuelles que celles de 2006, lorsque Ségolène Royal s'était finalement im­­posée. Certains partisans de DSK espèrent d'ailleurs que le parti se retrouvera sans leader, pour mieux imposer leur chef sans passer par des primaires. "Le quotidien de Dominique, c'est de parler tous les jours à des chefs d'État. Vous le voyez descendre dans le chaudron des primaires socialistes ?", interroge un partisan.

Chez les royalistes, Malek Boutih est persuadé que le PS finira par renoncer à organiser des primaires pour faire appel à DSK. "La direction a besoin de faire durer l'illusion des primaires le plus longtemps possible pour ne pas provoquer de conflit avec Ségolène Royal", analyse-t-il.

Alambiqués les scénarios du retour de DSK ? C'est ce qu'assure l'un de ses proches, Christophe Borgel, pour démentir que les strauss-kahniens préparent le retour de leur patron. "Soit Mar­tine réussit à moderniser le parti et elle devient la candidate naturelle. Soit elle échoue et Dominique ne pourra pas devenir le candidat d'un parti en échec."

samedi 28 mars 2009

Ben Cohen

Ben Christopher Cohen, est né le 14 septembre 1978 à Northampton (Angleterre). C’est un joueur de rugby à XV, international anglais, évoluant au poste de trois quart aile (1,88 m et 103 kg). Il joue pour le club de Northampton Saints entre 2000 et 2007, puis casse son contrat pour signer au CA Brive en décembre 2007. En mars 2009, il repart pour Sale.

Il a été champion du monde de rugby avec l'équipe d'Angleterre en 2003.
Il est le neveu de George Cohen qui a été aussi champion du monde, mais de football en 1966.Ben Cohen a décidé de quitter Brive pour Sale en fin de saison.

Le Panna cotta



Je suis un inconditionnel du panna cotta. Facile, excellent et parfumée à la vanille, ce dessert italien est un vrai régal.

Le Panna Cotta est originaire du Piémont, fabriqué à partir de crème, de lait et de sucre auxquels on ajoute de la gélatine pour obtenir une consistance ferme. Son nom signifie littéralement "Crème cuite". Ce dessert est généralement servi avec un coulis de fruits rouges. Il peut également l'être avec du chocolat fondu ou du caramel. L'origine exacte de la panna cotta n'est pas connue mais plusieurs théories suggèrent que la crème, très prisée en Italie du nord, était historiquement consommée nature ou sucrée à l'aide de fruits ou de noisettes. Les recettes les plus anciennes employaient des arrêtes de poisson bouillies à la place de la gélatine. Le sucre, produit d'importation coûteux, n'était alors pas accessible aux classes populaires.

Ingrédients pour 6 personnes *

  • 60 cl de crème liquide entière
  • 50 g de sucre
  • 3 feuilles de gélatine
  • 1 gousse de vanille
  • Coulis de fraises
Préparation de la recette :

Mettez la gélatine dans un bol d'eau froide afin de la ramollir.
Versez la crème dans une casserole.
Ajoutez le sucre, fendez la gousse de vanille en deux, récupérez les graines et ajoutez-les à la crème avec la gousse.
Faites chauffer sur feu doux.
Dès le début de l'ébullition, retirez la casserole du feu et laissez infuser en couvrant, pendant 10 minutes.
Retirez la gousse de vanille et faites à nouveau chauffer sur feu doux.
Dès le début de l'ébullition, retirez la casserole du feu, ajoutez les feuilles de gélatine bien essorées et remuez bien jusqu'à ce qu'elles soient dissoutes.

Versez dans des petits verres, laissez légèrement refroidir puis réservez au frais pendant au moins 6 heures.

Au moment de servir, ajoutez du coulis sur chaque panna cotta.

* j'utilise ces quantités pour 4 personnes ... !

vendredi 27 mars 2009

Photos de vacances 1ère partie !




Première visite au salon de l'automobile de Genève ... Une organisation à vous dégoûter de venir ! Beaucoup d'italiens et population plus beauf qu'à Paris, si si !



Je rêvais depuis longtemps d'être pris en photo avec un Yéti (le nom de la future Skoda, qui se trouve derrière) et quant à être ridicule ...



La nouvelle Polo.



La Nano, la voiture à 2 000 euros (5 000 e pour l'Europe) future voiture de ma soeur : plus c'est laid et moins ça peut se conduire, plus elle a des chances de l'acheter !



Décoration du stand Peugeot, qui présentait en première mondiale la 3008.
A Paris, le constructeur n'avait présentait que le prototype, qui était déjà très aboutit.



Le stand "Mini", le stand du grand n'importe quoi : A gauche de la photo, un DJ' et sa musique Techno (donc bruyante!), au centre deux pétasses se trémoussant ... et autour pleins de mecs qui mataient ces fameuses filles !
"Ils" ont tellement voulu faire fashion qu'on ne remarquait même pas les voitures exposées !




La voiture que Papa m'offrira pour mes 4.. euh 35 ans !
Papa, 52 000 euros ...



photo loupée mais belle ...




Le stand AUDI avec toutes les petites "frappes" qui se faisaient prendre en photo ... c'est à vous dégoûter d'acheter une AUDI !



Beaucoup de monde pour voir la nouvelle C3 DS, qui préfigure la future C3



Le magnifique logo DS, qui pour Citroën symbolisera le luxe de ses modèles.




On ne le voit pas bien mais, la 500 découvrable est "enterrée" à 1 m 50 en dessous du niveau du sol.



Le stand "FIAT" très sympa et très ludique comme souvent.

jeudi 26 mars 2009

Deneuve

Une inondation catastrophique est à l'origine de la Manche et de la Grande-Bretagne



Une équipe de scientifiques du Collège Impérial de Londres a découvert que la séparation des Îles Britanniques du reste du continent européen avait été provoquée accidentellement il y a plus de 200.000 ans par une gigantesque inondation.
Utilisant des sonars à haute résolution, les professeurs Sanjeev Gupta, Jenny S. Collier, assistés de Andy Palmer-Felgate et Graeme Potter du Department des Sciences terrestres, ont mis en évidence la trace d'une gigantesque vallée large de plusieurs dizaines de kilomètres et profonde d'une cinquantaine de mètres creusée dans le sol crayeux de la Manche, depuis sa partie méridionale jusqu'à sa communication avec l'Océan Atlantique. Selon les chercheurs, cette cicatrice aurait été provoquée par le passage brutal d'énormes quantités d'eau.



Selon les géologues, une arête rocheuse dénommée Weald-Artois s'étendait autrefois entre les emplacements actuels de Calais et Douvres, et retenait un gigantesque lac glaciaire situé au nord-est. Celui-ci, alimenté par des glaciers ainsi que par les eaux de la Tamise et du Rhin et d'autres rivières, était lui-même délimité à sa partie septentrionale par un bouclier de glace. Sa surface s'élevait jusqu'à quelque 30 mètres au-dessus du niveau moyen de la mer.
Pour une raison que l'on ignore encore, cette barrière rocheuse a cédé voici 450.000 à 200.000 ans, et l'énorme masse d'eau et de glace s'est mise à déferler, creusant le chenal détecté par l'équipe du Collège Impérial de Londres et séparant définitivement le territoire britannique du continent. Les scientifiques estiment le débit des eaux à environ un million de mètres cubes par seconde durant plusieurs mois.

Les conséquences de cette gigantesque inondation ont été considérables. La topographie des lieux a été complètement bouleversée, créant des barrières naturelles aux migrations humaines, aboutissant à l'absence de toute population il y a environ 100.000 ans. Les scientifiques pensent aussi que les parcours du Rhin et de la Tamise ont été complètement modifiés, aboutissant à la formation du célèbre Channel (entre la Mer du Nord et l'océan Atlantique).

L'importance de cette découverte est tout aussi considérable au niveau de la connaissance de notre civilisation, car elle explique enfin pourquoi son évolution s'est brusquement arrêtée il y a 120 à 100.000 ans en Angleterre. Elle ouvre aussi la voie à une meilleure compréhension de la topographie de l'Europe centrale et de son évolution durant le dernier million d'années, avec des répercussions insoupçonnées dans de nombreux domaines tels la prospection minière et pétrolière en Manche et Mer du Nord.

Notons que l'étude du fond marin à l'origine de cette découverte avait été à l'origine instiguée par le UK Hydrographic Office and the Maritime Coastguard Agency (MCA), dans le cadre de recherches pour l'amélioration de la sécurité maritime. Le rapport complet a été publié dans la revue Nature du 19 juillet 2007 sous le titre "Catastrophic flooding origin of shelf valley systems in the English Channel".

"Soul Bossa Nova" de Quincy Jones



Par Judy Garland ...

Un peu de nature ...

Warhol au Grand Palais



Bonne ou mauvaise, toute publicité est bonne, disent les Américains. La polémique, survenue à la veille du vernissage le plus couru de Paris, devrait confirmer cet aphorisme joyeusement cynique. La colère de Pierre Bergé, qui a fait décrocher jeudi après-midi les quatre portraits d'Yves Saint Laurent de l'exposition Warhol au Grand Palais, a devancé de trois jours le calendrier déjà tendu de l'événement. Après les arguties de rigueur, liées à la cote ¬extrême de l'artiste, l'événement était là, à Paris, avec la bénédiction du Andy Warhol Museum de Pittsburgh et le parrainage du mécène LVMH (Moët Hennessy Louis Vuitton).

Trop de fées autour du berceau d'Andy ? Prototype absolu de la culture américaine, antihéros né pauvre et anonyme en 1928 à Pittsburgh et disparu au faîte de sa gloire en 1987 des suites d'une banale opération, Andy Warhol aurait, là, matière à philosopher de A à B. La nature humaine prise en flagrant délit ? C'est pile le propos de son œuvre peint, photographié, filmé, commenté par lui-même, et que cette ambitieuse rétrospective en 250 portraits entend éclairer avec fraîcheur et savoir. Gare à la surexposition… Tout le mystère de cette drôle de planète Warhol, mondaine, arty, jouisseuse, ennuyée, est de résister à l'analyse des exégètes et à l'avalanche des expositions.
Comment redécouvrir cette idole de l'art, identifiable en une seconde à l'écran ou sur une toile, cet être bizarre «à la perruque panique», aussi mirifique et insaisissable que le père qui se réincarne en poisson dans le film Big Fish de Tim Burton ?

Dévoiler un nouvel autoportrait du plus alien des artistes, voilà un chemin qui peut s'avérer risqué, répétitif, voire fastidieux. «Américain de la première génération, enfant d'exilés marqué par les rites de l'Église uniate et par une forte pratique religieuse, Warhol n'est pas un homme vide ni vain. Il y a une naïveté en lui qu'il accepte, qu'il utilise et qu'il met en scène. C'est ce qu'on appelle l'art», analyse Alain Cueff, le commissaire de cette exposition dédiée au «maître des icônes du XXe siècle». Paradoxes en séries. Andy a la chair triste, la palette gaie, l'œil aigu d'un Apache qui scrute et le cœur solitaire malgré la foule nantie des happy few qu'il égrène sur son parcours de fêtes. La preuve par Marilyn, Liz, Brando, Elvis et tous ses autoportraits, cruels comme la série des quatre Crânes monumentaux où l'ombre portée dessine le profil d'un nouveau-né.

Cette promenade dans «Le grand monde d'Andy Warhol», l'historien de l'art «breton, mystique, tourmenté», l'a voulu claire comme une idée de thèse, limpide comme un cours magistral. Aux antipodes du glamour scintillant du Studio 54, le night-club des années new-yorkaises restées de légende comme la Factory. Les cimaises sont donc blanches, simples et sans overdose de décor. Quelques papiers peints Mao pour la salle splendide et impertinente, où trône le grand Mao venu de Londres, grâce à la crise qui l'a retiré des enchères. Quelques Silver Clouds, ballons lâchés au musée pour régénérer l'esprit pop. Indices d'une œuvre qui se tient derrière son apparente légèreté, les refends entre les quinze salles reprennent les orange, rouge mat, rose anglais, bleu pacifique de la palette Warhol.

Le découpage en sages chapitres est d'une modestie surprenante pour une telle moisson de chefs-d'œuvre signés Warhol. D'Ethel Scull 36 Times, captive d'une séance de Photomaton magnifiée par la mosaïque multicolore, à David Hockney, croqué en bonbon anglais, de ¬Basquiat, beau comme un dessin de Vinci, à Mona Lisa, funèbre comme une veuve sicilienne, il y a là de quoi applaudir et réfléchir.



"Le grand monde d'Andy Warhol", du 18 mars au 13 juillet, Galeries nationales du Grand Palais, entrée Clemenceau.

Un peu de douceur ...

mardi 24 mars 2009

"Ligne de feu" ...

Et oui, je regarde les séries sur Tf1 le lundi ou jeudi soir !
Je sais, je ne vais pas bien, je regarde de plus en plus TF1. Pourquoiiii ?
Parce ce que je suis un pauvre petit être faible sans cervelle ?
Parce que je suis en train de me "nunuchiser" ?
Cela vous excite de m'humilier ... et bien même pas ! Je regarde ces séries uniquement parce que certains acteurs sont canons ! donc je ne me "nunuchise" pas, je me "pétasséïse" !!!
Pour sauver mon honneur (!) je ne regarde que "Diane, femme flic". Le rôle principal est tenu par Isabelle Otéro excellente comédienne venue du cinéma. Elle a beaucoup de charme, est très jolie et donne beaucoup de sensibilité à son personnage. Un petit policier de temps en temps ne fait pas de mal, et puis j'adooore Isabelle Otéro !
Je me suis donc mis aussi, à regarder la série du lundi soir(!), mais pour la bonne cause ! A Megève, j'ai découvert en zappant, une série sur les pompiers (!!!) ... vous n'allez pas me dire que cela ne vous intéresse pas, tout de même !
J'ai donc vu de jeunes hommes musclés sous la douche, des scènes de vestiaires, des hommes à moitié nus en pleine réanimation ... Cela vaut bien une série !
Ça nous change de Natacha Amal ou de Corinne Touzet et de leurs regards bovins !

L'histoire, car apparemment il y en a une : Antoine et Iker sont deux amis d’enfance trentenaires. Ils exercent leur métier de pompier avec le même courage dans une caserne où ils forment avec leurs collègues, gradés ou sapeurs de base, une grande famille.
Mais il n'est pas facile d'être un héros ! Pour les pompiers de la caserne Balzac dont le quotidien est de sauver des vies, il n'y a pas de droit à l'erreur !
Mais lorsque Iker, Cisco, Franck, Benji, Alexandra et leur chef Burgess retirent leurs uniformes, ils redeviennent des hommes et des femmes comme les autres, avec leurs lâchetés, leurs manies, leurs défauts, leurs angoisses et leur envie de bonheur. Enfin, peut-être pas tout à fait comme les autres… car exercer un boulot qui vous met sous adrénaline 24h/24 ne favorise pas forcément une vie privée sereine. Et si, finalement, c'était dans leur propre existence chaotique qu'il allait falloir à ces pompiers être les plus héroïques pour se sauver eux-mêmes ... ?
Cela donne envie, non ? Euh ... non !
Bon d'accord, mais regardez au moins une fois, ne serait ce que pour admirer tous ces muscles, ces poils, toute cette testostérone exposés à 20h50 sur la première chaîne. Ne vous inquiétez, cela ne vous fatiguera pas non plus !
ALLEZ, RÉVEILLEZ LA PÉTASSE QUI EST EN VOUS !!!

lundi 23 mars 2009

Vraiment utile ?

A vous de juger ...
Une société japonaise, "AlphaOmega Soft", commercialise depuis peu un appareil, baptisé Iseepet, qui permet de voir et de donner à manger à son petit chien ou son chat à distance, via Internet.
Comment ça marche?
Le système Iseepet, qui ressemble extérieurement à un percolateur électrique sans la cafetière, est branché sur le réseau électrique et le réseau Internet de la maison. L'engin est équipé d'une caméra digitale, d'un réservoir d'eau, d'un réservoir à croquettes et de deux gamelles incorporées. Au bureau ou depuis votre lieu de vacances, par exemple, vous vous connectez à Internet, sur le site www.iSeePet.com, qui vous guide vers le distributeur installé chez vous.
Là, plusieurs possibilités.

La caméra intégrée dans l'appareil vous donne en direct des images (fixes sur votre GSM MMS, mobiles sur votre PC). Vous pouvez déclencher une livraison d'eau ou de croquettes pour votre animal. Il suffit de cliquer pour faire tomber la dose de croquettes choisies. Et pour que votre animal sache que c'est l'heure de manger, l'Iseepet émet un signal sonore, une petite mélodie que Mirza, Capucine ou ... Dooggy (!) va vite associer à son repas. Et c'est cette sonnerie qui permet aussi d'attirer votre animal devant la caméra.
Les réservoirs sont adaptés pour délivrer des repas pendant 3 ou 4 jours. Pas de quoi s'absenter pour de longues vacances, donc! Cela peut juste servir en dépannage, quand vous êtes bloqué au bureau ou que vous partez pour un week-end prolongé. Il ne vous reste plus qu'à trouver une solution pour sortir Médor à distance... !

Reste aussi un hic de taille, le prix.
L'Iseepet est vendu 1.448 $, soit à peu près autant d'euros, plus un abonnement mensuel de 32 $ ... seulement !!!

www.iSeePet.com